
Un cours d’histoire dans un lycée. Un rendu de Devoir sur Table.
Le sujet cette semaine porte sur les anciennes colonies françaises et Louise y a écrit une sorte de maxime: «Nous devrions déjà nous décoloniser avant de parler des anciennes colonies. Ne rien dire. Ne rien faire. C’est déjà un crime.»
Entre son professeur d’histoire (venu transmettre sa vision de l’histoire) et une élève visiblement en inadéquation avec son point de vue, la pensée se met en mouvement et donc en pratique selon le vieil usage de la dialectique.
Innocent·e·s est un texte court, d’une quarantaine de minutes, où deux comédien.ne.s côtoient Foccart, Mitterrand, Jean Jaurès.
Le Désordre des choses y envisage le théâtre comme un endroit de débat, de confrontation des points de vue, et d’accouchement d’une possible vérité.
Écriture: Guillaume Cayet
Mise en scène: Fleur Sulmont
Jeu: Aurélia Lüscher, Emmanuel Matte
Production: Le Désordre des choses
Soutien: La Méridienne, scène conventionnée de Lunéville
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